Après les livres-photos traitant des locomotives et automotrices – une série non encore complète – Thierry Nicolas lance une nouvelle série de livres à thème dans lesquels l’attention est portée sur une ligne ferroviaire belge en particulier, des gares que l’on y rencontre et du trafic ferroviaire que l’on peut y voir. Premier de cette liste, l’axe dit ‘Athus-Meuse’, proprement divisé en deux ouvrages. Le 1^er traite de la ligne 165 qui relie la gare frontière d’Athus à Libramont. La courte ligne 155 de Virton à Lamorteau et Ecouviez (F) est également passée en revue. Le second ouvrage traite de la ligne 166 – la continuation de l’Athus-Meuse – qui relie Bertrix à Dinant. 

L’Athus-Meuse s’étend sur 141 kilomètres et traverse la Lorraine belge et tout le massif ardennais. Cet axe constitue une des artères principales du réseau ferroviaire belge. Elle fut longtemps parcourue par des trains de marchandises lourds qui alimentaient la sidérurgie grand-ducale, ainsi que par des petits trains omnibus assurés par des autorails 43 ou 45. Les signaux mécaniques qui parsemaient cet axe lui procuraient un charme particulier. L’Athus-Meuse fut modernisé à partir de 2002 et électrifié en 25 kV 50 Hz et fait désormais partie du ‘Corridor’ Anvers – Bâle/Lyon – Suisse – Italie pour les trains de marchandises. Ces deux ouvrages ont le même concept: une courte introduction reprenant des données au sujet de la ligne et un bref historique, après quoi chaque gare et point d’arrêt est passé à son tour en revue. Les photos couvrent aussi bien l’époque vapeur des années ‘50 qui les époques avant et après l’électrification. Comme à l’habitude pour la Nicolas Collection, les photos en noir et blanc alternent avec des photos en couleurs, une grande partie étant publiée ‘pleine page’. Une légende succincte donne des infos sur la photo. L’accent n’est plus mis sur les engins de traction, mais sur les trains et leur composition. Les bâtiments de gare sont également illustrés, au cours de différentes périodes. Aucune info concernant ces gares n’est donnée: ce sont des livres-photos. La majorité de celles-ci n’ont jamais été publiées auparavant et proviennent des archives de Thierry Nicolas, Michel Hanssens, Jacques-Henri Renaud, Ronald Mardaga, Jean-Claude Girard, Christian Schnabel, Horst Kraft et Serge Martin. Ces livres-photos sur les lignes 165 et 166 forment en fait un ensemble. Ils ne constituent pas des études de lignes, mais plutôt un beau récit à travers les âges et les saisons d’un des axes ferroviaires les plus jolis du réseau belge. Ces deux ouvrages complètent bien les éditions précédentes traitant du matériel moteur grâce à l’accent mis sur les convois dans leur ensemble: à ce titre, ils constituent une source d’inspiration pour des compositions réalistes. Nous trouvons toutefois qu’une carte reprenant le tracé des lignes traitées aurait facilité la localisation des différents lieux passés en revue. Avec ses 288 pages et presque 500 photos par ouvrage, ces deux livres constituent le cadeau idéal à (vous) faire, par ces temps moroses… (GVM)

Après les livres-photos traitant des locomotives et automotrices – une série non encore complète – Thierry Nicolas lance une nouvelle série de livres à thème dans lesquels l’attention est portée sur une ligne ferroviaire belge en particulier, des gares que l’on y rencontre et du trafic ferroviaire que l’on peut y voir. Premier de cette liste, l’axe dit ‘Athus-Meuse’, proprement divisé en deux ouvrages. Le 1^er traite de la ligne 165 qui relie la gare frontière d’Athus à Libramont. La courte ligne 155 de Virton à Lamorteau et Ecouviez (F) est également passée en revue. Le second ouvrage traite de la ligne 166 – la continuation de l’Athus-Meuse – qui relie Bertrix à Dinant. 

L’Athus-Meuse s’étend sur 141 kilomètres et traverse la Lorraine belge et tout le massif ardennais. Cet axe constitue une des artères principales du réseau ferroviaire belge. Elle fut longtemps parcourue par des trains de marchandises lourds qui alimentaient la sidérurgie grand-ducale, ainsi que par des petits trains omnibus assurés par des autorails 43 ou 45. Les signaux mécaniques qui parsemaient cet axe lui procuraient un charme particulier. L’Athus-Meuse fut modernisé à partir de 2002 et électrifié en 25 kV 50 Hz et fait désormais partie du ‘Corridor’ Anvers – Bâle/Lyon – Suisse – Italie pour les trains de marchandises. Ces deux ouvrages ont le même concept: une courte introduction reprenant des données au sujet de la ligne et un bref historique, après quoi chaque gare et point d’arrêt est passé à son tour en revue. Les photos couvrent aussi bien l’époque vapeur des années ‘50 qui les époques avant et après l’électrification. Comme à l’habitude pour la Nicolas Collection, les photos en noir et blanc alternent avec des photos en couleurs, une grande partie étant publiée ‘pleine page’. Une légende succincte donne des infos sur la photo. L’accent n’est plus mis sur les engins de traction, mais sur les trains et leur composition. Les bâtiments de gare sont également illustrés, au cours de différentes périodes. Aucune info concernant ces gares n’est donnée: ce sont des livres-photos. La majorité de celles-ci n’ont jamais été publiées auparavant et proviennent des archives de Thierry Nicolas, Michel Hanssens, Jacques-Henri Renaud, Ronald Mardaga, Jean-Claude Girard, Christian Schnabel, Horst Kraft et Serge Martin. Ces livres-photos sur les lignes 165 et 166 forment en fait un ensemble. Ils ne constituent pas des études de lignes, mais plutôt un beau récit à travers les âges et les saisons d’un des axes ferroviaires les plus jolis du réseau belge. Ces deux ouvrages complètent bien les éditions précédentes traitant du matériel moteur grâce à l’accent mis sur les convois dans leur ensemble: à ce titre, ils constituent une source d’inspiration pour des compositions réalistes. Nous trouvons toutefois qu’une carte reprenant le tracé des lignes traitées aurait facilité la localisation des différents lieux passés en revue. Avec ses 288 pages et presque 500 photos par ouvrage, ces deux livres constituent le cadeau idéal à (vous) faire, par ces temps moroses… (GVM)

Les autorails doubles de la série 41 seront sans doute les dernières rames Diesel commandées par la SNCB. Les premiers engins (d’une série de 96) sont entrés en service en 2002 et ont remplacé tous les anciens trains tractés Diesel en service voyageurs, ainsi que les derniers autorails des séries 44 et 45. Ces autorails doubles ont été construits par Alstom Barcelone, ce qui était une primeur pour la SNCB. Lors de leur livraison, ils ont été engagés sur l’Athus-Meuse jusqu’à l’arrivée des ‘Desiro’, et ensuite sur toutes les lignes non électrifiées du réseau. Comme nous y sommes habitués pour la Nicolas Collection, tous les matricules de la série sont illustrés, généralement en pleine page. Rien ne ressemble toutefois plus à un autorail 41… qu’un autre autorail 41 et du point de vue matériel roulant, la répétition est assez lassante. Seule variété : la composition des trains, qui va jusque trois rames accouplées. Heureusement que les nombreux endroits différents des prises de vue apportent leur lot de variété et forment un voyage virtuel à travers le paysage ferroviaire belge au cours du 21^èmesiècle. A noter que Mehano a reproduit en son temps un autorail 41, un modèle très recherché de nos jours sur les sites de seconde main. (GVM)

Les automotrices doubles du type ‘AM86’ (901 à 952) sont depuis 30 ans déjà en service à la SNCB. Elles furent conçues pour des services omnibus rapides et accélèrent rapidement, ce qui justifie leur surnom de ‘Sprinter’. Ces rames sont aussi connues sous le sobriquet de ‘masque de plongée’, faisant référence à l’aspect de leurs faces d’about. A l’origine, elles portaient la livrée bordeaux; entre 2012 et 2017, elles ont été modernisées et repeintes dans la livrée ‘new-look’. Ces automotrices sont principalement utilisées sur les lignes électrifiées autour de Bruxelles et d’Anvers. Comme à l’habitude en ce qui concerne la Nicolas Collection, tous les matricules sont passés en revue, pour la plupart à plusieurs reprises, parfois sous les deux livrées, soit en solo, soit accouplées entre elles. Toutes les photos sont en couleurs, parfois en pleine plage. Comme rien ne ressemble plus à une AM86 qu’une autre AM86, de nombreux amateurs seront probablement plus attirés par les endroits illustrés par les photos : quelques-uns ont sérieusement changé d’aspect depuis la mise en service de ces AM86, ce qui en fait des vues historiques. La ‘Sprinter’ a été reproduite à l’échelle 1/87 par Van Biervliet. Les lecteurs de Train Miniature Magazine et de Journal du Chemin de Fer peuvent bénéficier d’une réduction de 10 % sur le prix de vente de ce livre-photos en le commandant à Meta Media Groep, notre éditeur. (GVM)